Paris – une ville à mille visages 

Studienexkursion der Französischkurse 

Eine Fahrt fernab des Touristenrummels sollte es werden, zur Vertiefung von Unterrichtsthemen,  mit einem bisschen Großstadtflair, aber nicht dem der Hochglanz-Postkarten; verschiedene Gesichter einer Stadt wollten entdeckt werden, wie einige sie bisher nur aus dem Französischbuch oder vom Urlaub als Touristen kennen: mittlerweile ist eine solche Exkursion nach Paris fester Bestandteil des Französisch-Unterrichts der Jahrgangsstufe. Außergewöhnlich ist eher, dass alle Teilnehmer ihren Beitrag zur Organisation und zum Programm leisten wollten; Erwachsene wie Jugendliche übernahmen bereitwillig Aufgaben und stellten die „Tagesmeister“, die sowohl für Reservierungen im Restaurant als auch für Eintrittskarten, Metro-Route und Stadtplan verantwortlich waren. So ergab sich ein Programm, das auf die Gruppe zugeschnitten war und eine große Bandbreite an Interessen abdeckte, bspw. Bateau-mouche mit französisch-deutscher Begegnung, Mémorial de la Shoah, Konzert im Maison Radio France. Dass das Centre Pompidou wegen unpassender Öffnungszeiten und die Katakomben wegen Streik spontan in andere Programmpunkte umgewandelt wurden, spricht für die Flexibilität einer Schülergruppe, mit der man als Lehrer gerne verreist. Auch für uns wird diese Reise mit engagierten und interessierten Schülern bleibende Eindrücke hinterlassen! 

Dazu gehörten bewegende Momente wie im Mémorial de la Shoah (als déjà-vu aus dem Film „Elle s’appelait Sarah“), die Ruhestätte der französischen Könige in der Cathédrale de Saint-Denis oder das Elend der Obdachlosen auf den Straßen; dazu gehörten denkwürdige Einblicke in das Paris entlang des Autobahngürtels, der nicht nur wegen des Marché aux puces als Tor zu Nordafrika anmutete; dazu gehörten aber auch Momente, in denen die Stadt in ihrem Facettenreichtum auf uns wirken konnte – irgendwo zwischen Sonnenuntergang auf der Tour Montparnasse, französischem Café, Jazz und Selfies mit nächtlich-glitzerndem Eiffelturm.  

Am treffendsten gelingt es den Schülern selbst, ihre Eindrücke und individuellen Schwerpunkte in Worte zu fassen – frisch gestärkt in der Landessprache: 

Einige Impressionen / quelques impressions:  

En juin 2018, les cours de français de la première et terminale ont passé quatre jours à Paris. Là, on a découvert une ville à mille visages. Au centre-ville on se sentait dans la capitale de la culture, des beaux arts, de l’architecture et de l’histoire.  

En correspondance avec les sujets qu’on a traité depuis deux ans, nous avons visité le Mémorial de la Shoah qui était très intéressant mais en même temps étonnant et choquant. 

Grâce à Xaver et son correspondant français on avait aussi la possibilité d’une rencontre enrichissante avec des vrais Parisiens. 

Plus tard, quand nous sommes rentrés à notre hôtel à côté du Périphérique, nous nous sommes retrouvés dans un Paris loin de clichés.  Au lieu de musées, petites crêperies et boulevards on était entouré par des bâtiments délabrés, odeurs étranges et des dizaines de policiers. À la fin de quatre jours on était content d’avoir fait cette expérience sans incident sévère et d’être retournés avec toutes nos affaires. 

(Hanna, Sophie, Hanna, Hannah, Mareike, J2) 

Un événement très impressionnant était la visite du Mémorial de la Shoah. Quand nous sommes entrés nous avons vu premièrement des murs hauts qui étaient gravés avec des noms de juifs qui étaient tués pendant la Shoah. C’était un sentiment très angoissant de voir des milliers des noms. En plus, c’était consternant pour quelques-uns de nous de découvrir leurs propres noms sur les plaques commémoratives. Nous avons laissé le sentiment agir sur nous. Après cela, nous avons eu une visite guidée dans le mémorial avec Marine. Les choses les plus impressionnantes et choquantes ont été une porte de la baraque avec le numéro dix du camp de déportation à Drancy et une salle pleine de photos d’enfants juifs qui étaient déportés. Pour certains, la date de déportation n’était même pas d’un an à partir de la date de naissance. La baraque numéro dix à Drancy était celle dans laquelle se trouvaient les enfants séparés de leurs parents. L’atmosphère durant la visite guidée était très oppressante. 

Pendant la visite, nous avons constaté que nous avons compris beaucoup malgré que Marine ait utilisé beaucoup de termes spécifiques. Aussi pendant le tour en bateau sur la Seine, nous avons parlé avec des jeunes Français. C’était bien de pouvoir utiliser la langue parce qu’on a découvert qu’on sait parler le français mieux qu’on a pensé.  

Vu l’ensemble, l’excursion était très impressionnante et on a amélioré notre français au passage.  

(Ann-Kathrin & Paulina, J1) 

?Avec une belle ambiance de matin à Saint-Denis, nous avons commencé notre deuxième journée à Paris. Déjà après être sorti du métro on était impressionné par les odeurs et surtout par la vue de la belle cathédrale. Saint-Denis avait été présente dans les médias à cause des attentats et beaucoup de problèmes avec des islamistes. Cependant, nous n’avons pas eu le sentiment qu’il faut avoir peur parce que le quartier semblait pacifique et les quartiers chauds étaient ailleurs.  

Au début, nous avons visité la cathédrale ce qui était phénoménal pour plusieurs raisons. 

En premier lieu, une élève nous a donné des informations sur l’histoire et aussi sur l’architecture de la cathédrale, qui était le haut lieu de la royauté française.  

D’ailleurs, nous avions la possibilité de découvrir des tombes des anciens rois.  

Ensuite, quelques élèves ont visité un marché d’antiquités où ils ont vu des choses historiques françaises. C’était aussi intéressant de voir la différence entre un marché traditionnel français et un marché en Allemagne.  

Après avoir eu beaucoup de temps libre pour visiter plus d’attractions ou aller faire du shopping, nous nous sommes rencontrés à la Maison de la Radio. Là-bas, nous avons écouté un concert de jazz très « intéressant».  

Pour finir notre séjour, on a pris un petit-déjeuner traditionnel français – avec tout ce qui est nécessaire; croissant, café et baguette.  

(Katharina Geßner und Xaver Weidner, J1)